La migration du Sportnographe vers WordPress implique que j’ai n’ai plus de sites sous Spip à gérer. C’est la fin d’une époque !
En 2002, j’avais commencé à bidouiller avec Spip pour monter un site pour le journal des étudiants en urbanisme. Ma maîtrise du logiciel en question m’avait incité à l’utiliser pour mes autres sites. Inouille, le Sportnographe, CentPapiers…
Mais Spip n’évoluait pas très vite et ne bénéficie pas d’une communauté aussi active que celle de WordPress.
Ne reste plus maintenant qu’à régler les problèmes de vitesse du site, ou celui qui fait que mon serveur plante toutes les deux heures… mais c’est un détail.